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Les chutes représentent un risque considérable pour la santé des plus de 65 ans, qui sont plus de 90'000 à se blesser chaque année en Suisse après être tombé·es. Travailler l’équilibre est un enjeu majeur pour prévenir les risques.
Lorsqu’une personne âgée dépourvue de directives anticipées perd sa capacité de discernement, ses proches l’aidant régulièrement peuvent être sollicité·es sur les soins à prodiguer. Mais que faire si ces individus ne s’entendent pas?
Afin de promouvoir l’activité physique, notamment auprès des personnes âgées et sédentaires, l’application gratuite FriActiv propose des parcours de découverte urbaine, à suivre en mode agile, relax, tonique ou en groupe.
Encore peu exploités dans les institutions médico-sociales, les outils numériques pourraient contribuer à la visibilisation et à la reconnaissance du travail social dans ce secteur. Mais une approche collective est nécessaire.
Pour développer un itinéraire interprofessionnel favorable de «Vieillissement en santé», un projet genevois découlant sur la création d’un guide a compté sur la participation active de toutes les parties concernées par la politique vieillesse.
Les femmes « baby-boomers » vivant seules représentent une catégorie sociale particulièrement vulnérable en termes de défis liés au logement. Une étude vise à comprendre leurs besoins, pour mieux répondre à ceux de l’ensemble des seniors.
Bien que la cuisine du quotidien semble être un acte anodin, elle permet de transmettre des liens familiaux, ainsi que d’apporter du soutien au-delà de son noyau familial, comme le montre une étude menée en Valais.
Comme la maltraitance infantile, l’un des nombreux sujets de recherche de René Knüsel, les violences et les discriminations envers les personnes âgées suivent un long processus de prise de conscience et de prévention.
Le phénomène suicidaire touche particulièrement les personnes âgées. D’un point de vue sociologique, ce geste s’explique par différents éléments, notamment en lien avec l’image que la société véhicule autour de la mort. Éclairage.
Utiliser des poupées thérapeutiques pour soigner des patient·e·s atteint·e·s de troubles neurocognitifs est déjà étudié sur des lieux de vie, comme des EMS. À l’hôpital, cette approche implique plusieurs défis et ouvre des perspectives de recherche.
REISO souhaite à toutes ses lectrices et à tous ses lecteurs un été serein et riche en lecture.