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Les bracelets «anti-errance» ont fait leur entrée dans les homes et les hôpitaux. Ils émettent un signal aux soignants si la personne dépasse la limite autorisée. Quel contrôle social ces nouvelles technologies exercent-elles ?
C’est un lieu coloré niché derrière la gare Cornavin à Genève. Grâce à des activités socioculturelles rigolotes et originales, les habitants se rencontrent dans l’espace public et se mobilisent pour préserver leur qualité de vie.
La commune de St-Martin, en Valais, a inauguré en août 2017 sa Maison des Générations. Les architectes racontent l’histoire de sa construction et les bénéfices qu’elle apporte au village et à ses habitant·e·s.
Les personnes âgées s’investissent fortement dans la prise en charge de leurs petits-enfants. Imposée tant par le devoir familial que le manque d’alternative, cette activité bénévole offre un coussin de paresse à l’action socio-politique.
A majorité urbaine et connectée, la génération du papy-boom est aussi consommatrice de biens, de services et de loisirs. Les EMS sont peu adaptés à cette clientèle en recherche de vie, de lien social et d’animation. Pistes de réflexion.
Des sentiments conflictuels sont ressentis par les personnes âgées lorsqu’elles se trouvent obligées de recourir à l’aide à domicile. Une étude menée au Tessin donne la parole aux aînés et analyse cette transition critique du grand âge.
L’isolement des personnes âgées résulte souvent d’habitats individualistes et séparatistes. Avec une politique de logements coopératifs et intergénérationnels, jeunes et moins jeunes répondraient avec ingéniosité à leurs besoins respectifs.
Bien que le suicide assisté reste en Suisse un phénomène social minoritaire, il suscite des débats passionnés réactualisant cette vieille interrogation: est-ce que la vie vaut la peine d’être vécue ? Et dans quelles circonstances ?
Les personnes âgées souhaitent majoritairement vieillir chez elles. Confrontées à des contraintes mettant en péril leur autonomie, elles se montrent fins stratèges afin de préserver leur espace de familiarité. Enquête à Genève.
Une étude menée à Genève a fait parler les aîné·e·s. De multiples liens, petits, imprévus et de hasard leur donnent l’impression d’habiter dans une zone familière et confortable. Ils expliquent ce sentiment d’appartenance à leur quartier.