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Bonjour,
Merci beaucoup pour votre intérêt ainsi que votre commentaire pertinent. C’est en effet un point important que vous soulevez, étant donné le rôle significatif que peuvent jouer les médecines complémentaires selon les situations. Même si elles n’ont pas été explicitement nommées, elles sont implicitement comprises dans la première question à poser à son médecin (« Existe-t-il plusieurs traitements possibles ? »). En effet, cette question vise à ouvrir la discussion quant à toutes les options de traitements possibles, y compris les médecines complémentaires, qui – comme vous l’avez très justement relevé – sont loin d’être mutuellement exclusives aux options thérapeutiques occidentales traditionnelles.
Par ailleurs, de façon plus concrète et s’agissant plus spécifiquement des benzodiazépines, un projet interdisciplinaire européen, BE-SAFE, est déjà lancé avec pour objectif la diminution de ces traitements, incluant notamment les médecines complémentaires (https://besafe-horizon.eu/fr/home).
Meilleures salutations, Marie Débieux
Bonjour, Merci pour votre article.
Je suis étonnée que dans les questions à poser aux médecin vous ne mentionnez pas « Est-ce que des médecines complémentaires pourraient m'aider dans ma situation? ». Ces médecines ont souvent montré être d'une grand aide en combinaison avec la médecine traditionnelle occidentale, et ses apports sont largement documentés dans la littérature et la recherche clinique.
Meilleurs salutations,Béatrice Dolder
Bonjour, Un grand merci pour cet article inspirante et inspiré.
Meilleurs messages,
Maria Begoña Gonzalez
Merci pour votre travail, j'ai trouvé cet article très pertinent et ça ouvre les yeux sur une réalité existante, mais sous-estimée. Force et courage à toutes les femmes qui subissent ces inégalités. Comment quitter cette situation épouvantable sans avoir les moyens nécessaires ?
Evguenia Favre
Merci pour cet excellent article qui décrit une réalité bien trop souvent rencontrée dans notre pratique également auprès des adolescents à DEPART. Et merci aux associations qui défendent ces intérêts.
Les pistes proposées dans l'argumentaire sont pragmatiques et semblent assez accessibles. Je suis étonnée du manque de développement ou de ressources spécifiques en la matière en Suisse Romande et j'appelle ces développements de mes voeux. Peut-être faut-il simplement mieux répertorier ce qui se fait déjà? Les connaissances en notre possession — depuis longtemps maintenant — concernant l'âge de « fin » du développement du cerveau adolescent devraient en soi déjà être un argument suffisant pour adapter les mesures existantes mais d'autant plus pour les "care-leavers".
Kathia Bornand, Lausanne
REISO souhaite à toutes ses lectrices et à tous ses lecteurs un été serein et riche en lecture.