Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Si les recherches collaboratives entre milieux académiques et terrain s’avèrent plus longues, leurs résultats gagnent en validité. Exemple avec Polyolf, un projet qui s’est intéressé à l’olfaction des jeunes avec un polyhandicap.
Se souvenir de l’objectif d’une activité lors de sa réalisation permet de l’achever avec succès, ce qui requiert certaines compétences cognitives. L’étudier fournit un éclairage précieux sur la cognition des plus jeunes.
La pandémie a contraint les maisons de quartier à fermer leurs portes. Malgré la mise en place d’outils numériques, les travailleur·euse·s sociaux ont peiné à maintenir des liens avec leur public. Récit d’une expérience berlinoise.
Une étude menée en milieu rural auprès d’enfants de 6 à 11 ans montre que leur vision de la vieillesse repose sur différents regards, à la fois négatifs, neutres et positifs, ainsi que sur quelques stéréotypes.
Si la venue en Suisse, pour les danseurs·ses sénégalais·es, concrétise leur rêve d’Europe, ces artistes sont confronté·e·s à du racisme ordinaire et peinent à voir leur professionnalisme reconnu.
Quelles sont les attentes du public en situation de handicap en matière d’inclusivité au théâtre ? A Sierre, une recherche à visée exploratoire ouvre des pistes d’amélioration concrètes, pour que l’inclusivité, un jour, devienne un non-sujet.
L’étude mandatée par AvenirSocial sur le travail social en temps de pandémie aboutit à des conclusions préoccupantes. L’association professionnelle, alarmée, fait entendre ses revendications.
À Epalinges, une mesure originale favorise l’insertion sociale des personnes réfugiées grâce à un programme de formation basé sur la confection de jus de fruits. Ou comment transformer activités pratiques en un atout andragogique.
Et si les entreprises luttaient contre l’épuisement de leurs employé·e·s à l’aide de concerts ? Quels seraient les impacts de ces moments musicaux collectifs ? C’est ce qu’a exploré le projet musicdrops@work dans trois entreprises.
Solliciter des prestations sociales par courriel, sans devoir se déplacer à un guichet, représente une aubaine pour certain·e·s, mais contrecarre l’autodétermination des plus vulnérables. Une recherche menée à Genève le montre.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)