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Une étude menée en milieu rural auprès d’enfants de 6 à 11 ans montre que leur vision de la vieillesse repose sur différents regards, à la fois négatifs, neutres et positifs, ainsi que sur quelques stéréotypes.
L’organisation d’un repas intergénérationnel nécessite de prendre en compte les besoins différents des enfants et des seniors. En Valais, un projet a mis en lumière les bonnes pratiques que requièrent ces moments de partage.
L’apprentissage se déroule à l’école, mais aussi au club sportif, à la maison ou sur la place de jeux : chaque enfant évolue en permanence dans une sorte de paysage éducatif. Dans certaines communes, le concept a été développé.
Certain·e·s jeunes aux comportements particulièrement problématiques transitent de foyers en placements forcés, sans jamais créer un lien éducatif stable sur lequel s’appuyer. Une prise en charge à long terme serait une solution.
Mesure d’insertion socioprofessionnelle par les arts de la scène, Scène Active accueille chaque année une quarantaine de jeunes en situation de vulnérabilité. Le suivi de dix mois conjugue ateliers créatifs et accompagnement social.
Après l’analyse des points positifs et des lacunes en matière de placement extra-familial dans les cantons, de nouvelles recommandations ont été émises afin de consolider les droits des principaux·ales intéressé·e·s.
L’accueil libre favorise l’égalité des chances. Lorsque les animateurs et animatrices socioculturelles se placent dans une posture humble, ils et elles offrent aussi aux jeunes un réel espace participatif contribuant au développement de compétences citoyennes.
Coucher sa détresse sur le papier puis lire son texte à voix haute, en groupe, peut aider les adolescent·e·s aux idées suicidaires à contrer leur sentiment de solitude. Deux participantes à l’atelier d’écriture de MALATAVIE se livrent.
Mille enfants et adolescent·e·s valaisan·ne·s ont participé à la révision de la Constitution de leur canton. Loin d’être un exercice alibi, le processus a débouché sur de multiples propositions concrètes.
La participation des Jurassien·ne·s s de 12 à 24 ans aux activités de loisirs diminue avec l’âge en raison d’un manque de temps et du stress induit par la pression à la réussite scolaire et professionnelle.