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Le bioéthicien britannique Tom Shakespeare se déplace en chaise roulante. Lors de sa récente intervention à Genève, il a rappelé que le handicap ne se situe pas dans les corps mais dans notre société.
Ouvert au début 2011, « La Maison », nouveau centre de la Fondation Foyers Valais de Cœur, comble un vide. A quels besoins particuliers répond-il et en quoi diffère-t-il d’une structure d’accueil classique pour personnes en situation de handicap ?
Basé sur la prédiction par diagnostic, le nouveau modèle national de tarification est inapplicable à la santé mentale. Pour quelles raisons ? Et comment remodeler cet instrument pour l’adapter à la psychiatrie-psychothérapie ?
Entre ceux qui souhaitent une intervention de qualité et ceux qui revendiquent une approche strictement financière des régimes de protection sociale, les oppositions sont vives. Analyse des importants effets de ce schéma de pensée.
Les proches consacrent des millions d’heures à aider leurs petits-enfants ou leurs parents âgés. Cette solidarité est spectaculaire, mais elle ne doit pas faire oublier les groupes exclus de ces réseaux. Analyse sociodémographique.
Lorsque nous imaginons un parcours de vie « normal », nous faisons appel à diverses représentations dont celles définies par les assurances sociales. Analyse avec l’exemple des normes androcentrées contenues dans l’AVS.
Afin de faire reconnaître certains troubles psycho-physiques, les assurés passent de procédures en recours, d’examens en réexamens. Avec son étude chiffrée, Cristina Ferreira met en exergue les dimensions sociales et politiques de cette juridicisation alarmante.
Malgré la nécessité de maîtriser les coûts de la santé, personne ne veut réfléchir aux modes de rationnement des soins. Ni les politiques, ni le public, ni les médias, ni les médecins ! Les éthiciens sont déçus.
La publication en mai dernier du premier Rapport social statistique suisse 2011 [1] a constitué une innovation importante et bienvenue sur le plan fédéral. Un mois plus tôt, le Département vaudois de la santé et de l’action sociale (DSAS) a publié son Rapport social 2011.
Comment les professionnel-le-s peuvent-ils mieux comprendre et mieux aider les personnes victimes de violence en se protégeant eux-mêmes ? Comment reconnaître et utiliser les résonances personnelles de cet accompagnement ?
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)