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Chaque année, plus de 200 rendez-vous adaptés proposent aux personnes en situation de handicap un accès facilité à l’offre culturelle de la région genevoise. Encore faut-il que les intéressé·e·s sachent que les événements existent...
Si l’envie de retrouver le plus vite possible une vie professionnelle normale se révèle souvent très importante chez les patient·e·s ayant souffert d’un cancer, il s’avère primordial de ne pas brûler les étapes de cette phase majeure.
A Genève, l’art a fait son entrée dans un service universitaire d’addictologie il y a bientôt dix ans. Retour sur une expérience enrichissante et interrogatrice, tant du côté des soignant·e·s que des artistes.
Considérés comme des dealers, des migrants africains doivent rester invisibles pour échapper à la police. Quelle place la société leur offre-t-elle ? Peuvent-ils exister dans l’espace public ? Leur documentaire esquisse des réponses.
Une approche intégrative de la corporéité dans les dispositifs de formation des métiers de l’humain peut s’appréhender comme une recherche exploratoire et créatrice, complémentaire aux savoirs théoriques et à l’expérience pratique.
En Suisse, plus de 10% de la population souffre d’un handicap partiel ou total de la vue ou de l’ouïe. Grâce au surtitrage, à l’audiodescription et à l’interprétation en langue des signes, les arts vivants sont à la portée de tou·te·s en Suisse romande.
La dichotomie « savant·e vs profane » est-elle révolue ? Les expertises d’usage et usagère représentent un nouveau type de savoir à intégrer aux délibérations professionnelles et scientifiques du travail social.
Si les outils numériques ouvrent de nouveaux horizons à l’accompagnement social, ils comportent aussi de nombreux défis pour ne pas créer de nouvelles minorités invisibilisées.
Pour les personnes précarisées en situation d’addiction∙s, la rue représente un « chez‑soi ». Mais cette appartenance dérange lorsqu’elle laisse des traces. Le vivre ensemble dans l’espace public passe par la réduction des risques.
En-dessous de la gare de Lausanne, au centre de Renens ou à Vevey, des personnes aux parcours variés arpentent les territoires de la précarité. Trois études éclairent les causes économiques, sociales et politiques du phénomène.
Le nouveau film de la cinéaste suisse Maja Tschumi plonge dans le quotidien de la jeunesse irakienne au lendemain des révoltes de 2019. Dès le 14 mai en Suisse romande.