Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Dans les institutions pour seniors, le choix des mots reflète le travail effectué sur la qualité des pratiques professionnelles et la place donnée aux habitant·es. Une étude examine le rôle du langage dans la formation et l’amélioration des soins.
En Suisse, le métier de socio-esthéticien·ne reste peu connu et sans formation dédiée. Cette approche contribue pourtant à améliorer l’estime de soi des personnes en situation de handicap ou de précarité. Réflexion issue du terrain.
Lorsque des étudiant·es universitaires donnent des cours de soutien à des jeunes soutenus par l’AI, les effets positifs rejaillissent sur les un·es et les autres, comme le montre l’évaluation d’un programme neuchâtelois.
Un projet vaudois met en lumière un certain nombre d’éléments clés à intégrer au développement d’une offre d’activité physique intergénérationnelle pour que celle-ci fonctionne auprès des seniors.
Les courriers non ouverts et les montagnes de poursuites qui s’ensuivent sont des situations que les travailleur·euses sociaux·ales et les curateur·ices connaissent. Quels mécanismes psychologiques sont à l’œuvre et que peut-on faire pour les contrer? [1]
Les soins infirmiers sont souvent présentés comme un « coût », alors qu’ils permettent précisément de réduire les dépenses de santé. Faire passer ce message nécessite plus d’engagement politique des soignant·es.[1]
Marqués par des changements forcés de métier, certains parcours professionnels entrainent les individus dans des situations à risque de précarisation. Une sensibilisation aux enjeux contribuerait à rendre ces processus plus fluides.
Élément majeur au maintien d’une bonne santé des enfants, l’activité physique des plus jeunes, tant au sein de la famille que dans un contexte extrafamilial, doit tenir compte de la prévention des accidents, laquelle est aussi un enjeu d’éducation.
Une étude menée auprès des Lausannois·es de plus de 75 ans montre que les personnes les plus à risque de souffrir d’un sentiment de solitude sont majoritairement issues de quatre groupes. Des pistes d’intervention sont formulées.
Renforcer les compétences en santé des patient·es grâce à une collaboration entre des groupes d’entraide autogérés et des «Hôpitaux favorables à l’entraide» représente une démarche bénéfique pour les patient·es et leurs proches.