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Durant la pandémie de Covid-19, les centres d’animation socioculturelle ont déployé des mesures inédites pour rester en lien avec leur public. Les analyser montre les capacités d’adaptation des professionnel·les du travail social.
Pour que le développement d’une réelle collaboration entre professions fonctionne, une attitude proactive et structurée est nécessaire. Exemples tirés d’un atelier, notamment axé sur la promotion de l’activité physique.
Pour développer un itinéraire interprofessionnel favorable de «Vieillissement en santé», un projet genevois découlant sur la création d’un guide a compté sur la participation active de toutes les parties concernées par la politique vieillesse.
L’expansion de la collaboration interprofessionnelle s’inscrit comme un indice d’une transformation profonde des systèmes de santé et de services sociaux. Apport théorique et réflexif.
Les travailleurs et travailleuses sociales hors murs disposent d’outils d’insertion socioprofessionnelle non liés à des exigences de résultat. Un processus essentiel pour permettre à un public bas seuil de (re)mettre le pied à l’étrier du marché du travail.
Les conséquences d’une séparation ou d’un divorce des parents peuvent être délétères pour la santé des enfants. Dans le but de diminuer ces impacts négatifs, le modèle du consensus parental place les besoins de l’enfant au centre.
S’adressant à des bénéficiaires de l’aide sociale non aptes à l’emploi pour raisons de santé, la mesure d’insertion sociale Mission Nature aborde le rapport à l’écologie ainsi que son impact bénéfique sur le bien-être et la santé.
Initié en 2022, un module de formation à l’innovation sociale repose sur une démarche de recherche-développement. Dispensé dans le cadre du bachelor en travail social, il renverse le dispositif académique ordinaire. Retour sur expérience.
Peut-on à la fois alléger le fonctionnement de l’administration et simplifier la vie des personnes recourant aux prestations sociales ? Une évaluation s’est posé cette question dans le canton de Genève.
S’ils contribuent à l’expression des bénéficiaires ne pouvant pas parler, les moyens de communication alternatifs et améliorés restent peu utilisés par les professionnel·les. Un projet visant à renforcer leur utilisation a fait le point.