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Amener la créativité au chevet du patient adulte ouvre un espace-temps qui apaise et reconnecte corps et esprit. Il convie l’essence réparatrice, intime, d’une personne malade et contribue à prendre soin de son équilibre psychologique.
A Genève, l’art a fait son entrée dans un service universitaire d’addictologie il y a bientôt dix ans. Retour sur une expérience enrichissante et interrogatrice, tant du côté des soignant·e·s que des artistes.
Chaque année, 1’000 nouveaux cas de cancer du côlon ou du sein sont diagnostiqués dans le canton de Vaud. La Ligue vaudoise contre le cancer a développé une information adaptée pour faciliter l’accès des migrant·e·s au dépistage.
A Fribourg, une collaboration interdisciplinaire entre monde académique et milieu culturel s’est initiée autour de la Fête de la musique. Objectifs ? Actions de préventions et de promotion de la santé, et projets de recherche.
Mères isolées, pères tenus à l’écart : les restrictions sanitaires ont bouleversé les accouchements. Si certains aspects s’avèrent positifs, d’autres, comme la construction de la parentalité, méritent une attention particulière.
Depuis plus de 15 ans, Colaus|PsyColaus explore les liens entre maladies cardiovasculaires, leurs facteurs de risque, et les troubles psychiques. Les incidences des uns sur les autres sont aussi intégrés à cette recherche inédite, d’une rare importance.
La Fondation MalleyPrairie, à Lausanne, prend en charge aussi bien les victimes que les auteur·e·s de violences dans le couple par une approche dite intégrée. Ou comment concilier apports féministes et systémiques.
Coucher sa détresse sur le papier puis lire son texte à voix haute, en groupe, peut aider les adolescent·e·s aux idées suicidaires à contrer leur sentiment de solitude. Deux participantes à l’atelier d’écriture de MALATAVIE se livrent.
Pour rendre les messages préventifs plus accessibles aux jeunes, MALATAVIE collabore avec des YouTubeurs reconnus. Ils et elles déconstruisent des idées reçues sur le suicide dans des vidéos diffusées sur leur chaîne.
Les personnes concernées par l’automutilation ne reçoivent pas le soutien qu’elles souhaiteraient. Sur ce sujet intime, les travailleurs et travailleuses sociales auraient un rôle clé à jouer. Une recherche donne de nouvelles pistes.