Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Une nouvelle démarche en Suisse romande permet d’aborder les questions liées aux soins futurs avant que la santé des patient·e·s ne se dégrade. Les défis sont à la fois éthiques et conversationnels.
Consulter un médecin lorsque l’on a un trouble du spectre de l’autisme cumule les sources de stress. Pourtant, en adaptant la communication et l’environnement, par exemple, l’accès aux soins de ces personnes se trouve favorisé.
Amener la créativité au chevet du patient adulte ouvre un espace-temps qui apaise et reconnecte corps et esprit. Il convie l’essence réparatrice, intime, d’une personne malade et contribue à prendre soin de son équilibre psychologique.
A Genève, l’art a fait son entrée dans un service universitaire d’addictologie il y a bientôt dix ans. Retour sur une expérience enrichissante et interrogatrice, tant du côté des soignant·e·s que des artistes.
Chaque année, 1’000 nouveaux cas de cancer du côlon ou du sein sont diagnostiqués dans le canton de Vaud. La Ligue vaudoise contre le cancer a développé une information adaptée pour faciliter l’accès des migrant·e·s au dépistage.
A Fribourg, une collaboration interdisciplinaire entre monde académique et milieu culturel s’est initiée autour de la Fête de la musique. Objectifs ? Actions de préventions et de promotion de la santé, et projets de recherche.
Mères isolées, pères tenus à l’écart : les restrictions sanitaires ont bouleversé les accouchements. Si certains aspects s’avèrent positifs, d’autres, comme la construction de la parentalité, méritent une attention particulière.
Depuis plus de 15 ans, Colaus|PsyColaus explore les liens entre maladies cardiovasculaires, leurs facteurs de risque, et les troubles psychiques. Les incidences des uns sur les autres sont aussi intégrés à cette recherche inédite, d’une rare importance.
La Fondation MalleyPrairie, à Lausanne, prend en charge aussi bien les victimes que les auteur·e·s de violences dans le couple par une approche dite intégrée. Ou comment concilier apports féministes et systémiques.
Coucher sa détresse sur le papier puis lire son texte à voix haute, en groupe, peut aider les adolescent·e·s aux idées suicidaires à contrer leur sentiment de solitude. Deux participantes à l’atelier d’écriture de MALATAVIE se livrent.