Go Top

Neuchâtel nomme une préposée à l’inclusion des personnes avec handicap

Vendredi 18.03.2022

Le Canton de Neuchâtel crée une fonction pionnière en Suisse romande : dès le 1er avril, Nathalie Christen travaillera en tant que préposée à l’inclusion des personnes vivant avec un handicap.

Nathalie Christen Preposee Inclusion 170Nathalie Christen © République et Canton de Neuchâtel

Engagée comme collaboratrice scientifique depuis plus de sept ans au Bureau fédéral de l’égalité pour les personnes handicapées, Nathalie Christen s'apprête à relever le défi d'une fonction novatrice en Suisse romande: préposée à l'inclusion des personnes vivant avec un handicap. Riche d'une solide expérience dans le conseil et les avis de droit pour les entités fédérales, cantonales et les particuliers, elle est une experte dans le déploiement de la législation pour l’égalité des personnes handicapées.

Nathalie Christen entrera en fonction à l’occasion des Etats généraux de l’inclusion, le 1er avril 2022 prochain. 

En tant que préposée à l’inclusion, elle sera notamment chargée de concevoir et de proposer un plan d’action en matière d’inclusion basée sur un processus participatif, d’en assurer la coordination et le reporting. Elle conseillera les administrations, les organismes, les collectivités ou les individus quant à l’application des législations traitant du handicap et donnera son préavis sur les projets de lois ou dispositions d’exécution.

Le Département de l’emploi et de la cohésion sociale se réjouit de pouvoir compter sur l’expérience et les compétences de Nathalie Christen, dans ce premier poste de Suisse romande de préposée à l’inclusion des personnes vivant avec un handicap, pour relever cet important défi de construire ensemble une société neuchâteloise inclusive.

(Source : communiqué République et Canton de Neuchâtel)

En savoir plus sur les Etats généraux de l'inclusion

L'affiche de la semaine

Dernier article

Comment favoriser l’inclusivité dans les loisirs?
Jeudi 07.11.2024
Par Chloé Jaccard
Les activités de loisirs inclusifs restent peu pratiquées par les personnes en situation de handicap, pour des raisons principales d’accessibilité, de coût ou d’information. Une enquête a fait le point auprès des personnes concernées.