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et les expériences en Suisse romande
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Trois expériences menées à Genève visent à améliorer les passages entre les lieux de soins des addictions et la cité. Elles visent aussi, avec le café collaboratif, à favoriser les compétences citoyennes.
Entre crainte, trouble et paradoxe, la sexualité semble régulièrement occultée dans les traitements psychiatriques. Certaines personnes souhaitent pourtant parler de leurs désirs. Les travailleurs sociaux ont-ils un rôle à jouer ?
Les souffrances personnelles et les coûts sociaux des troubles psychiques sont accablants. Dans une démarche coordonnée, Neuchâtel a développé un plan d’action, avec la prévention du suicide en tête de liste.
Entre 14 et 18 ans, les jeunes brisent le cocon. Même bien intentionnés, les conseils des proches sont souvent rejetés. La permanence téléphonique du 147 offre une écoute professionnelle aux adolescent·e·s en difficultés.
En Suisse, 15% des décès et 14% des années de vie en bonne santé perdues sont attribuables à des facteurs environnementaux pourtant modifiables. Comment promouvoir, même en ville, un cadre de vie favorable à la santé ?
Une recherche menée en Suisse romande montre que les personnes sourdes sont insatisfaites des modalités actuelles de l’accès aux soins. Leurs revendications et les expériences menées à l’étranger dessinent des pistes d’action.
Les habitant·e·s en souci avec les assurances, le travail, la famille, le logement ou la maladie sont accueilli·e·s au guichet « Fribourg pour tous ». Quelle place la santé a-t-elle dans cette permanence sociale ?
Nous vivons dans une société paradoxale. A la fois « obésophobe » puisqu’elle discrimine les personnes obèses. Et « obèseogène » puisqu’elle favorise le développement de l’obésité. Comment sortir de ce cercle vicieux ?
Les images sordides de contention en psychiatrie ont marqué les esprits. Avec le nouveau droit de protection de l’adulte, ces mesures sont limitées. Mais sur ce sujet sensible, tout n’est pas éclairci. Ni en droit, ni en pratique.
L’instinct maternel a bon dos ! Une recherche menée auprès de 250 femmes montre que le stress lié à la naissance de l’enfant est plus intense que prévu. Elle montre aussi que le stress ne dépend pas du contexte socio-médical.