Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Après les traitements initiaux contre un cancer, la personne concernée et les proches s’adaptent peu à peu pour retrouver une certaine qualité de vie. Ces ajustements imposés sont souvent ardus et coûteux. Comment imaginer un meilleur soutien ?
Une enquête menée à Genève a analysé, pour la première fois, l’état de santé d’un collectif de personnes ne bénéficiant pas des aides sociales auxquelles elles auraient pu prétendre. Les constats sont sans appel.
Dans les systèmes de santé développés, entre 20 et 30% des actes médicaux seraient injustifiés. Un mouvement médical grandissant vise à combattre cette surconsommation de soins. En Suisse aussi! Cette révolution culturelle se fera avec les patients.
En Suisse, une femme sur dix est concernée par l’endométriose. Certains professionnels de la santé banalisent les douleurs et le diagnostic est retardé, avec de graves conséquences. Pistes pour améliorer la prise en charge des patientes.
Les tendances démographiques concernent aussi les personnes souffrant de handicap psychique. Comment évoluent les pratiques éducatives face aux bénéficiaires vieillissant·e·s ? Résultats d’une recherche menée en Valais.
Le Code pénal définit des mesures thérapeutiques pour des centaines de délinquants souffrant de troubles psychiques. Dans un cadre sans durée fixe, l’intervention sociale suit des objectifs par étapes pour faire «diversion» sur l’avenir.
Des entretiens et un sondage en ligne ont donné la parole aux proches aidant·e·s. Les tâches accomplies sont encore plus complexes que ce que l’on imagine. Surtout quand il faut remédier aux défaillances des systèmes sociaux et sanitaires.
Comment préserver l’autonomie des personnes âgées ? Par la coordination des actions sanitaires et sociales. Depuis trente ans, cette réponse peine pourtant à se concrétiser. Un nouveau modèle holistique est développé à Genève.
En Suisse, environ 200'000 personnes présentent un usage problématique de somnifères et tranquillisants. Les femmes, les personnes âgées et la Suisse latine sont davantage concernées. Comment éviter cette surconsommation ?
Dans les hôpitaux, elle est utilisée pour soulager la douleur. Elle apparaît aussi dans les psychothérapies. Depuis peu, elle est pratiquée dans les EMS. Et vous, qu’en savez-vous ? Quels sont vos préjugés et vos croyances sur l’hypnose ?