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Une étude nationale est venue étoffer les connaissances de l’état de santé des bénéficiaires de l’aide sociale. Les troubles de santé rencontrés par ces personnes devraient en faire un groupe cible de mesures de politique de santé.
Les personnes migrantes sans-papiers recourent souvent aux médias sociaux lorsqu’il s’agit de se documenter ou d’échanger au sujet de la santé. Du côté médical, l’investissement dans ces outils reste pourtant limité.
À Bienne, le projet Wili a allié réintégration sociale et aide aux personnes âgées. Un pari enrichissant pour chacun·e, mais qui nécessite toutefois de prêter une attention particulière aux fragilités des deux populations.
Complexité administrative et honte retiennent encore trop souvent les personnes en situation de précarité à s’adresser aux services cantonaux susceptibles de leur venir en aide.
En juin 2021, un plan d’action fédéral a été adopté afin d’atteindre les objectifs de développement durable de l’ONU qui visent, notamment, à faire diminuer d’ici 2030 la part de la population vivant sous le seuil de pauvreté en Suisse. Éclairage.
Solliciter des prestations sociales par courriel, sans devoir se déplacer à un guichet, représente une aubaine pour certain·e·s, mais contrecarre l’autodétermination des plus vulnérables. Une recherche menée à Genève le montre.
Lorsque les possibilités de rembourser des découverts s’avèrent inexistantes ou presque, le suivi social doit maintenir le lien sans encombrer le système. Cette mission, parfois périlleuse, repose sur quatre piliers principaux.
Se former quand on assume seule la charge d’un ou plusieurs enfants et qu’on reçoit le revenu d’insertion représente un cumul de challenges. Certains programmes soutiennent ces femmes à la motivation décuplée par la vision d’un avenir meilleur.
Considérés comme des dealers, des migrants africains doivent rester invisibles pour échapper à la police. Quelle place la société leur offre-t-elle ? Peuvent-ils exister dans l’espace public ? Leur documentaire esquisse des réponses.
Pour les personnes précarisées en situation d’addiction∙s, la rue représente un « chez‑soi ». Mais cette appartenance dérange lorsqu’elle laisse des traces. Le vivre ensemble dans l’espace public passe par la réduction des risques.