Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Les prestations de soins sont censées être accessibles à tout un chacun. L’égalité des chances dans ce domaine n’est pourtant pas réalisée. Revue de littérature sur l’accès et les renoncements aux soins en Suisse et ailleurs.
Entrer au Point d’Eau à Lausanne, c’est voyager autour du monde et vivre une aventure humaine. Ce lieu apporte chaleur et sécurité à des milliers de personnes démunies. Il fournit aussi les soins d’hygiène et les soins dentaires.
La loi fribourgeoise sur l’aide sociale est en cours de révision afin de mieux répondre aux nouveaux enjeux. Les bénéficiaires de l’aide sociale sont absents du processus. Faut-il les inclure ? Et si oui, comment ? Quelques pistes.
Un film en capsules sur un portail internet ? Réalisé par une senior de plus de 70 ans dont c'est le premier geste cinématographique ? Sur un lieu que peu de Genevois connaissent ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
Autonomisés et responsabilisés dans leurs choix de santé, les individus sont parfois contraints à renoncer à des soins. Ce phénomène prend de l’ampleur dans le canton de Vaud [1] et nécessite une prise de conscience politique.
Pour que l’égalité des chances se réalise, une piste d’action réside dans une nouvelle collaboration entre l’école et les familles. Les expériences menées à ce jour sont pourtant décevantes. A cause de l’ethnocentrisme de l’école ?
Le travail social est appelé à se saisir des enjeux posés à lui-même et aux publics qu’il accompagne par le développement de la cyberadministration : le risque existe que celle-ci renforce les inégalités et la mise à l’écart.
A Genève, la loi interdit la mendicité qui n’a de loin pas disparu. La cohabitation avec les personnes qui la pratiquent oscille toujours entre mépris, reconnaissance et indifférence. Selon quelles logiques de part et d’autre?
Le Tribunal fédéral a tranché le 29 août 2018. Il a jugé légale l’interdiction de la mendicité par le canton de Vaud. La loi est entrée en vigueur le 1er novembre. Quels ont été les arguments utilisés par les cinq juges ?
Cet article présente la démarche qui a mené à la création d’un dispositif d’accompagnement psychosocial de proximité. Avec son équipe mobile, le lieu d’accueil propose une alternative à l’exclusion et à la vie en institution.