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Les stéréotypes bien établis ainsi que la concurrence entre travailleur·se·s et entrepreneur·e·s sociaux·les maintiennent une division entre deux champs d’intervention qui ne sont en réalité pas si différents, voire complémentaires.
Qui ne rêve pas de marcher ou de courir cheveux au vent, libre dans son corps et dans sa tête, léger·e, complètement un·e et unique, indissociable du soi, de l’autre et de son environnement ? Heureux : intime émotion en relation avec le monde.
À Renens, un projet participatif d’accueil pour les femmes touchées par l’itinérance tente de mieux saisir ce qui se joue dans les interactions entre dispositifs et bénéficiaires, en plaçant l’expérience des femmes au centre.
La mort dans le monde du travail est une réalité peu discutée, relevant à la fois de l’idée que le deuil se vit en famille, mais aussi d’un malaise des directions, des ressources humaines et des cadres face à ces situations.
Travail de l’ombre, la transcription des entretiens des chercheur·se·s s’avère pourtant indispensable. À l’heure de sa retraite, une sociologue témoigne sa reconnaissance à celle qui a, des années durant, fait vivre le souffle des interviewé·e·s.
En développant un espace propice à la création, les institutions peuvent jouer un rôle dans les processus de guérison intérieure ou le développement personnel de leur visiteur·euse·s, ainsi que l’illustre le projet Art & bien-être.
Pratiquer cet art martial est utile au renforcement de la confiance en soi. Quand il est proposé à des personnes fragilisées par des troubles psychiques ou des addictions, par exemple, il peut devenir un véritable outil thérapeutique.
Pour mieux accompagner les enfants souffrant de troubles du développement et de l’apprentissage, le social et la santé se rencontrent. Ensemble, ils répondent au besoin d’entourer le jeune dans un cadre protecteur et adapté à ses besoins.
Les personnes avec déficience intellectuelle vivant en institution nécessitent un accompagnement spécifique à l’aube de leur décès. Les professionnel∙le∙s du social et de la santé peuvent y collaborer, ce qui soulève différents enjeux.
Si la relation aux autres est un facteur déterminant de santé mentale, l’écoute représente un moyen puissant de vivre ce lien à autrui. Un lien qui, par le fait d’être aimé·e et intégré·e à un réseau social, répond à un besoin indispensable.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)