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Si l’envie de retrouver le plus vite possible une vie professionnelle normale se révèle souvent très importante chez les patient·e·s ayant souffert d’un cancer, il s’avère primordial de ne pas brûler les étapes de cette phase majeure.
Pour les personnes précarisées en situation d’addiction∙s, la rue représente un « chez‑soi ». Mais cette appartenance dérange lorsqu’elle laisse des traces. Le vivre ensemble dans l’espace public passe par la réduction des risques.
Certain·e·s jeunes aux comportements particulièrement problématiques transitent de foyers en placements forcés, sans jamais créer un lien éducatif stable sur lequel s’appuyer. Une prise en charge à long terme serait une solution.
Plusieurs institutions du domaine des addictions ont invité les Suisses à se questionner sur leur consommation d’alcool via un mois volontaire d’abstinence. Retour sur un défi collectif, vécu avant tout sur les réseaux sociaux.
Longtemps cachées, les personnes souffrant de troubles psychiques commencent à se dévoiler dans l’espace public. Alors que les préjugés et la stigmatisation demeurent fréquents, les enjeux autour de ce processus sont nombreux.
Mères isolées, pères tenus à l’écart : les restrictions sanitaires ont bouleversé les accouchements. Si certains aspects s’avèrent positifs, d’autres, comme la construction de la parentalité, méritent une attention particulière.
Coucher sa détresse sur le papier puis lire son texte à voix haute, en groupe, peut aider les adolescent·e·s aux idées suicidaires à contrer leur sentiment de solitude. Deux participantes à l’atelier d’écriture de MALATAVIE se livrent.
Peut-on fournir de la reconnaissance dans le cadre d’un programme d’assistance ? Partager le travail agricole permet-il de lui redonner un sens ? Et ceci contribue-t-il à alléger la souffrance psycho-sociale des paysan·ne·s ?
Les personnes atteintes d’un cancer affrontent un choc existentiel, puis des traitements longs et douloureux. Etre privé·e de contact avec ses proches ou de possibilités de se changer les idées renforce l’isolement face à la maladie.
Les témoignages sur la charge mentale recueillis par le Bureau lausannois pour les familles tendent à montrer que c’est toujours majoritairement les femmes qui anticipent et organisent les affaires familiales. Analyse.