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Les politiques publiques envers les étrangers en Suisse ne cessent de se transformer. Depuis 2014, les programmes d’intégration cantonaux fournissent un outil commun et utile aux acteurs. Avec un but en point de mire : la cohésion sociale.
L’accès aux soins est garanti par la loi pour les sans-papiers et les requérants d’asile déboutés. En théorie tout va bien, mais des questions pratiques se posent, pas seulement pour les traitements «lourds».
Le politique comme les médias signalent rarement que les personnes de nationalité étrangère contribuent largement au financement de l’Etat social helvétique. Tout en étant souvent exclues des prestations sociales.
Pour les professionnels de la santé, l’information des personnes migrantes se heurte à une série de difficultés. Une étude menée à Genève les identifie à trois niveaux : accès aux soins, transfert de compétences, contexte de vie des patients.
Ateliers de danse et de théâtre, projets artistiques participatifs, le far° à Nyon a su tirer parti de sa proximité avec un centre de requérant·e·s pour favoriser et réinventer le vivre ensemble.
Les migrant·e·s représentent 41% de la population genevoise et appartiennent souvent aux populations les plus vulnérables. Une consultation de premier recours assure leur prise en soins. Avec quelle mission et quels objectifs de santé publique?
Pionnier suisse de la scolarisation des enfants sans statut légal, premier délégué aux étrangers cantonal du pays, novateur dans sa loi sur l’intégration… L’Etat de Neuchâtel a pensé l’inclusion sur un mode citoyen et interculturel.
Trois générations d’Albanais se sont succédé en Suisse. Leurs aspirations et leurs modes de vie dans la société d’accueil ont changé au fil des décennies. Quel regard portent-elles sur leur intégration dans le pays?
Comment permettre aux étudiant·e·s réfugié·e·s de poursuivre leur cursus universitaire? Depuis quelques mois, les bonnes pratiques académiques et administratives se mettent en place en Europe comme en Suisse pour répondre à ce défi.
Le nouveau concept clé en matière d'intégration des étranger·ère·s sur le plan fédéral s'intitule « encourager et exiger ». Le principe de la carotte et du bâton en somme. Comment se traduit-il sur le terrain ?