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Pionnier suisse de la scolarisation des enfants sans statut légal, premier délégué aux étrangers cantonal du pays, novateur dans sa loi sur l’intégration… L’Etat de Neuchâtel a pensé l’inclusion sur un mode citoyen et interculturel.
Trois générations d’Albanais se sont succédé en Suisse. Leurs aspirations et leurs modes de vie dans la société d’accueil ont changé au fil des décennies. Quel regard portent-elles sur leur intégration dans le pays?
Comment permettre aux étudiant·e·s réfugié·e·s de poursuivre leur cursus universitaire? Depuis quelques mois, les bonnes pratiques académiques et administratives se mettent en place en Europe comme en Suisse pour répondre à ce défi.
Le nouveau concept clé en matière d'intégration des étranger·ère·s sur le plan fédéral s'intitule « encourager et exiger ». Le principe de la carotte et du bâton en somme. Comment se traduit-il sur le terrain ?
Au lieu d’associer les mots « migration » et « problème », envisageons la migration comme un atout. Car les migrants ont participé à fabriquer la Suisse actuelle. L’épanouissement de notre société dépend de cette culture partagée.
Les Accords de Dublin prévoient des motifs humanitaires pour accepter des requérant·e·s d’asile. Des associations rappellent cet article du règlement aux autorités suisses. Repères sur la mobilisation citoyenne à Genève.
Dans leur position de passerelle et d’interface entre les cultures, les interprètes communautaires et les médiateur·trice·s interculturel·le·s jouent un rôle central pour l’intégration. Avec quels fondements éthiques ?
Dans une société inclusive, les individus sont perçus et se perçoivent eux-mêmes à la fois comme une part de la communauté et comme des êtres uniques. Focale sur deux modèles d’action : l’intégrationnisme et la citoyenneté.
Les conflits politiques à l’origine de la migration kurde en Occident sont toujours d’actualité un siècle plus tard. La reconnaissance culturelle de cette communauté peut favoriser la construction de la paix en Turquie.
Le continent européen a comptabilisé l’arrivée de 90’000 jeunes en provenance d’Erythrée, d’Afghanistan, d’Irak, de Syrie et d’ailleurs pour la seule année 2015. Comment les accueillir et les accompagner ?