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et les expériences en Suisse romande
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Les victimes du locked-in syndrome, ou syndrome d’enfermement, et leurs proches sont souvent confronté·e·s aux inhabiletés du personnel soignant et à des écueils administratifs. D’une expérience vécue à Fribourg est née une association de soutien.
La précocité et la fréquence des troubles alimentaires chez les enfants inquiète. Des études établissent un lien avec leur sensibilité au stress. Une recherche suisse de santé psychique et physique attire aussi l’attention sur la qualité du sommeil.
C’est une page Facebook à la fois rigolote et documentée. Fourchette-Baskets fourmille de conseils sur les vertus d’une alimentation équilibrée et du mouvement. Une façon originale de promouvoir la santé auprès des jeunes et des moins jeunes.
Pour retrouver son logement, son travail ou ses occupations, la personne cérébro-lésée a besoin de thérapies intensives. A Neuchâtel, ces patient·e·s expérimentent un traitement combiné à un accueil de jour soutenu. Comment ce parcours est-il organisé?
Un nouveau programme est actuellement testé en Suisse romande. Il vise à soutenir les proches aidant·e·s de personnes atteintes de troubles psychiatriques sévères. Selon quelles modalités concrètes et avec quels suivis ?
Le surpoids concerne près de quatre adultes sur dix. Comment sensibiliser les étudiant·e·s en soins infirmiers et en médecine sur la malnutrition ? Une expérience interprofessionnelle et ludique a été menée à Lausanne.
Une étude teste actuellement une thérapie pour les adolescent·e·s et les jeunes adultes souffrant d’hyperphagie incontrôlée. Elle accorde une attention particulière aux stress sociaux et à la sensibilité de ces personnes aux exclusions sociales.
Comment aborder la question de l’alcool dans un foyer pour adultes ? L’interdiction fonctionne mal car des résident·e·s sortent des murs pour «s’alcooliser». L’autorisation de boire à l’intérieur permettrait-elle un meilleur accompagnement ?
Avant de passer «A table !», il est bon de s’assurer que le repas que nous voulons manger est bon, y compris pour notre santé. Depuis plus de vingt-cinq ans, « Fourchette verte » y veille. Histoire d’une aventure qui a démarré à Genève.
Les mesures appliquées pour prévenir certains risques sanitaires ne savent toujours pas tenir compte des inégalités sociales. De plus, elles stigmatisent des parties de la population. Avec le coronavirus, c’est le totem des âges. Réflexion à vif.