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Animation socioculturelle: comment évaluer?

Jeudi 02.02.2023
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Comment évaluer les pratiques d’un centre d’animation socioculturelle, particulièrement lorsque celui-ci vit une période houleuse ? Une recherche analyse les attentes parfois fort opposées des professionnel·le·s et des jeunes.

Par Franco De Guglielmo, animateur socioculturel, Fondation pour l’Animation socioculturelle Lausannoise, et chargé de cours, Université de Neuchâtel

En animation socioculturelle, les pratiques d’évaluation portées de façon autonome par les jeunes se trouvent souvent négligées. Une étude doctorale [1] sur les accueils libres d’un centre socioculturel lausannois se propose de les faire émerger dans leurs imbrications dynamiques avec les outils participatifs proposés par les professionnel·le·s.

L’animation socioculturelle auprès des jeunes générations exprime une constante. Pour chaque projet, les différents groupes d’acteurs et actrices impliqué·e·s disposent de leur propre vision, attentes et buts. Au cours de l’avancement du projet, et en l’absence d’espaces d’expression et de synthèse de ces partialités, s’installent frustrations, incompréhensions ou conflits entre jeunes et professionnel·le·s. Bien entendu, le spectre des personnes concernées comprend également parents, bénévoles, personnel politique, fonctionnaires publiques, structures de financement et d’autres encore.

Ces observations renvoient aux contributions théoriques provenant, en particulier, de la psychologie socioculturelle [2]. L’articulation des notions de sens (individuel), de signification (collective, socialement donnée) et d’activité (entendue comme un système socio-historique) se révèle heuristiquement essentielle. Par des parcours praxéologiques [3], l’enjeu consiste donc à faire émerger et à analyser les processus d’évaluation afin de libérer les potentialités émancipatrices de l’animation socioculturelle jeunesse [4].

Questionner les modalités d’évaluation

L’étude a été réalisée au centre socioculturel de Prélaz-Valency, une structure d’animation socioculturelle située entre deux secteurs [5] à l’ouest de la ville de Lausanne. Au cours des années, le centre socioculturel a connu de fortes tensions entre les jeunes qui le fréquentent et les professionnelle·s qui y interviennent. Ces tensions reproduisent à l’intérieur du lieu des fractures marquant déjà l’espace urbain environnant. Elles explosent en particulier durant les accueils libres, mettant à mal les règles, l’organisation et la conception de cette activité. S’ensuivent des fermetures plus ou moins prolongées, des plaintes pénales, des burn-outs, ainsi que des questionnements identitaires sur la profession.

L’accueil libre constitue un espace de socialisation intermédiaire entre la rue et d’autres agences de socialisation [6]. Dans le contexte du dispositif d’animation socioculturelle jeunesse à Prélaz-Valency, il se manifeste comme le maillon faible, s’imposant dès lors comme situation d’analyse de l’étude. Les deux questions initiales de recherche connectent alors le déroulement périodique de l’activité, la thématique de l’évaluation participative en animation socioculturelle jeunesse et les apports théoriques cités ci-dessus.

La première question concerne les modalités par lesquelles l’évaluation des activités jeunesse peut s’effectuer. Pour que l’émergence des sens et la construction ou le maintien d’une signification se réalisent, faut-il que des procédures ad hoc soient consensuellement déterminées lors de la conceptualisation de l’activité, planifiées dans son phasage et soumises elles-mêmes à évaluation ?

La deuxième question traite, elle, des conditions sociales permettant la présence des jeunes à ces processus. Pour que les jeunes actrices et acteurs s’engagent dans des procédures d’évaluation, est-il pertinent que les relations de proximité qu’ils et elles entretiennent avec l’environnement les valorisent dans leurs spécificités sociales et culturelles ?

Alimenter un journal de terrain

En référence à la grounded theory [7], trois méthodes de recherche sont utilisées. Durant quatorze mois, un journal de terrain transcrit l’ensemble de ce qui se déroule aux accueils libres, ainsi que les événements externes considérés en lien. Le recours à ce dispositif d’observation sert le double but de donner une vision globale, extensive, de la situation de recherche et, simultanément, d’attribuer plus de pertinence aux deux outils successivement pratiqués.

La deuxième méthode engagée est le différentiel sémantique. Dans une version adaptée à la recherche, un test [8] vise à relever les positionnements des jeunes fréquentant le centre socioculturel sur certains « objets » révélés par le journal de terrain comme significatifs de leur quotidien. Trente-deux personnes, dont huit filles et vingt-quatre garçons, entre onze et vingt ans, acceptent de se soumettre, individuellement ou en groupe, au différentiel sémantique.

Enfin, dans le cadre d’entretiens semi-directifs [9], les jeunes sont questionnés sur les actions qu’ils mènent au centre et plus généralement durant leur temps libre. Sur les trente-deux personnes qui ont répondu au différentiel sémantique, vingt participent aussi à l’entretien semi-directif, soit cinq filles et quinze garçons.

Analyser la participation des jeunes

Du croisement des données récoltées émergent quatre principaux aspects. Tout d’abord, les jeunes qui fréquentent le centre et plus spécifiquement ses accueils libres habitent en grande majorité au sein d’un complexe résidentiel appelé Les Jardins de Prélaz [10]. La population vivant sur ce site à haute densité comprend principalement des familles d’origine étrangère, issues de la classe dite populaire et parfois soutenues par des aides publiques.

Privés d’espaces de socialisation répondants aux besoins exprimés par ses habitant·e·s, les Jardins de Prélaz se trouvent concernés par un fort malaise juvénile. Celui-ci s’exprime par une précarisation, de la vulnérabilité, une rupture des liens intergénérationnels ou encore la banalisation de la violence [11]. Les jeunes participant à l’étude se ressemblent dans les ruelles agitées de cette « zone sensible » [12], devant le supermarché, sous les porches et dans les caves des immeubles. Là, ils construisent les trajectoires de leurs identités personnelles et collectives.

En franchissant le seuil du centre socioculturel, ce groupe d’une quarantaine de préadolescent·e·s, adolescent·e·s et jeunes adultes porte avec lui son histoire et un sens bien clair de la structure. Ainsi, pour elles et eux, le centre est un lieu où se rencontrer entre ami·e·s, en particulier durant la mauvaise saison. A l’abri du regard des adultes, ils et elles poursuivent là des « axiomes dialogiques » [13] tels que le partage, l’amitié, la confiance, l’autonomie.

Second constat, l’équipe de professionnelle·s, attribue au centre et plus généralement à l’animation socioculturelle un rôle militant et engagé. Pour elles et eux, l’animation socioculturelle destinée à la jeunesse constitue un moyen de conscientisation, de développement de la citoyenneté et de changement social.

Le troisième constat porte sur le fait que ces postures propres aux deux groupes en présence ne parviennent pas, au fil du temps, à se composer en une signification commune. Leur cohabitation se révèle laborieuse, ce d’autant plus lorsque les jeunes tendent à reproduire dans le cadre du centre les pratiques agressives qu’ils et elles vivent à l’extérieur. Extrait du journal de terrain, un échange par messagerie instantanée illustre la façon dont les jeunes se positionnent vis-à-vis de l’équipe d’animation. Son rôle est perçu essentiellement comme relevant de la surveillance. Ainsi, à un message WhatsApp d’un·e professionnel·le indiquant à un·e jeune que l’accueil est supprimé au profit d’une discussion sur le déroulement de la suite des activités, la réponse arrive à 22h30 : « Je serais pas present car je trouve que vous etes totalement injuste a toujours s acharner sur moi vous voyer ce qui se passe et oui ce jour la jetait pas present comme par hazards a chaque fois quil y a le bordel je suis pas la mais c bizarrement a moi qu on appelle les parents !! » (sic). L’échange se poursuit ensuite sur le même ton, le jeune ajoutant « a la base de ce centre qui est tout d abords un endroit ou on partage des choses entre amies mais cela n est plus le cas des a present a force d appeler les parents de virer des gens et de vouloire faire la police plutot que le role d animateur (...) » (sic).

Enfin, quatrième constat, cette dichotomie de sens se retrouve dans les dynamiques participatives se déployant lors de l’évaluation des accueils libres et, plus globalement, du centre socioculturel. De la part de l’équipe d’animation comme des jeunes émanent des bilans continuels, des propositions incessantes de changements ainsi qu’une multitude de moyens utilisés pour les véhiculer.

Les données obtenues lors de la recherche mettent en évidence que les professionnel·le·s portent une participation évaluative prônant la conscientisation. Réalisée en étapes successives au moyen d’outils issus de l’éducation populaire, elle se réalise à l’intérieur de coordonnées collectives et démocratiques, comme les réunions, les concours expressifs, ou les panneaux muraux.

Les jeunes, au contraire, ciblent leur bien-être immédiat dans ces évaluations. Elles et ils s’expriment par les styles communicatifs de leur univers et agissent dans une dimension surtout individuelle. L’étude fait apparaître qu’elles et ils investissent surtout « l’informel professionnel » des animatrices et animateurs, c’est à dire le temps planifié par l’équipe pour d’autres tâches, comme des colloques, la rédaction de projets ou de bilans ou diverses tâches administratives, ou même situé hors des horaires de travail, temps qui semble mieux correspondre à leurs rythmes de vie. Le journal d’équipe et les entretiens documentent ces temps avec par exemple les appels WhatsApp nocturnes ou en week-end, les irruptions dans d’autres activités, les discussions au bureau, les échanges après la fermeture du centre, les rencontres dans la rue, les sorties au restaurant ou les déplacements en train et bus vers Aquaparc ou ParcAventure.

Ces discours et ces pratiques évaluatives — l’entretien semi-directif représentant une véritable mine d’informations — des professionnel·le·s et des jeunes peinent à se rejoindre, rendant dès lors difficile le développement d’expériences d’animation socioculturelle propices à l’émergence de compétences relationnelles, techniques, d’autonomisation et de pro-socialité. Ce constat aboutit à un paradoxe : un surplus de participation devient générateur de mouvements turbulents plutôt que des parcours émancipateurs cohérents.

Ainsi, tout au long de la recherche, le centre socioculturel continue à vivre des tensions. Parallèlement, l’espace urbain environnant reste marqué par les méfiances intergénérationnelles, les diabolisations et les interventions publiques incertaines.

Formuler de nouvelles questions en lien avec le terrain

Les avancées du travail de recherche de terrain, ainsi que les processus d’analyse et compréhension des données récoltées, bousculent en partie les deux questions de recherche fixées initialement au sujet des modalités d’évaluation, ainsi que des conditions sociales permettant la présence des jeunes à ces processus. Ces problématiques se révèlent issues de la culture professionnelle et réflexive de l’équipe d’animation et s’inscrivent dans un sens de la participation qui n’arrive pas à légitimer celui pratiqué par les jeunes.

À la lumière de la recherche, d’autres questions plus pertinentes à la réalité du terrain que celles posées aux prémices de la recherche se dessinent donc, notamment quant aux objectifs visés par ces processus. Parmi ces nouvelles questions peut-on mentionner : que visent les pratiques évaluatives stimulées par l’animation socioculturelle ? S’agit-il de former les futures citoyennes et les futurs citoyens au contexte sociétal ? Au contraire, l’animation socioculturelle a-t-elle plutôt pour but de faire émerger l’inexprimé, en offrant des espaces et des modalités mieux en syntonie avec les parcours de vie de la jeunesse ? De ce point de vue, quelles sont les organisations du travail et les compétences professionnelles que cette deuxième approche demanderait aux animateurs et aux animatrices socioculturelles ?

Pour construire une réponse documentée aux besoins réels des jeunes et ouvrir des pistes d’évolution aux lieux d’animation socioculturelle traversés par les mêmes blocages que ceux dont souffre le Centre de Prélaz-Valency, il est essentiel de mener d’autres recherches-actions. Les données obtenues, grâce à la mutualisation d’expériences de terrain, contribueraient alors, de manière « praxéologique », aux débats sur l’empowerment chez les jeunes générations.

Bibliographie

  • De Guglielmo, F. (2022). Sens et significations dans l’évaluation émancipatrice de projets d’animation socioculturelle auprès des jeunes. L’expérience d’un centre socioculturel lausannois. Consulté le 12.01.202
  • Engeström, Y. (2015). Learning by expanding. An activity‑theoretical approach to developmental research. Cambridge : Cambridge University Press.
  • Gillet, J.-C. (1995). Animation et animateurs. Le sens de l’action. Paris : L’Harmattan.
  • Glaser, B. G. & Strauss, A. L. (1967). The discovery of grounded theory: strategies for qualitive research. London and New York: Routledge.
  • Mauger, G. (2006). Les bandes, le milieu et la bohème populaire. Paris : Belin.
  • Marková, I. (2016). The dialogical mind. Common sens and ethics, Cambridge: University Press.
  • Osgood, C., Suci G. & Tannenbaum, P. (1957). The measurement of meaning, Urbana and Chicago: University of Illinois Press.
  • Rochex, J.-Y. (1995). Le sens de l’expérience scolaire. Paris : PUF.
  • Tironi, Y. (2015). Participation et citoyenneté des jeunes. Lausanne : Éditions EESP.
  • Vermeersch, P. (2017). L’entretien d’explicitation. Paris : ESF Éditeur.
  • Wicht, L. (Dir.) (2013). À propos de l’accueil libre. Genève : Éditions IES.
  • Zittoun, T. (2011). Life-course : a socio-cultural perspective. In J. Valsiner (Dir.). The Oxford handbook of culture and psychology (pp. 513-535). Oxford : University Press.

[1] Sens et significations dans l’évaluation émancipatrice de projets d’animation socioculturelle auprès des jeunes. L’expérience d’un centre socioculturel lausannois. Septembre 2022, pp. 250. Directeur de thèse : Prof. Antonio Iannaccone, Institut de psychologie et éducation, Université de Neuchâtel.

[2] Rochex, 1995; Zittoun, 2011; Engeström, 2015

[3] En conséquence et dans cette perspective, les recherches sur l’animation doivent se situer dans l’ordre de ce qui s’appelle une praxéologie, qui, plus que séance de la pratique ou de l’action, évoque la séance de la praxis, c’est-à-dire le mouvement de va-et-vient entre le vécu, la pratique et la pensée. (Gillet, 1995, p. 18)

[4] Tironi, 2015

[5] Prélaz et Valency

[6] Wicht, 2013

[7] Glaser & Strauss, 1967

[8] Osgood, Suci & Tannenbaum, 1957

[9] inspirés de l’entretien d’explicitation, voir Vermeersch, 2017

[10] https://www.lausanne.ch/portrait/carte-identite/architecture-et-monuments/patrimoine-architectural/urbanisme-aujoudhui/jardins-de-prelaz.html

[11] selon le modèle de l’« idéal de virilité », voir Mauger, 2006

[12] ainsi que la police lausannoise définit désormais les Jardins de Prélaz, voir Forny, 2016

[13] Marková, 2016

Comment citer cet article ?

Franco De Guglielmo, «Animation socioculturelle: évaluer, mais comment?», REISO, Revue d'information sociale, publié le 2 février 2023, https://www.reiso.org/document/10213

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