Go Top

L'Association Viva de Lancy primée «Commune en santé»

lundi 03.07.17

L’Association des communes suisses a attribué les prix «Commune en santé» 2017 à Kriens, Schaffhouse et à la commune genevoise de Lancy et son Association Viva. Trois points forts ont été relevés:

Zumba © DRZumba © DRRenforcer les compétences en santé. 
L’association VIVA Lancy incite les aîné-e-s à avoir des activités physiques, par le biais par exemple d’un «Passeport santé pour les aînés» durant l’été, qui propose des marches pédagogiques, du Tai Chi ou des cours de Zumba. Elle les invite également à des conférences portant sur le thème de la santé. 


Promouvoir le «vivre ensemble». 
L’association renforce également le bien-être psychologique des aînés, en leur proposant des moments de rencontre, comme des découvertes culturelles ou des goûters-conférences. L’aspect intergénérationnel n’est pas oublié, puisque divers projets intègrent les enfants et les jeunes, par exemple dans le cadre d’un groupe de lecture intergénérationnel ou d’un atelier de peinture à quatre mains. On peut saluer le côté participatif du projet, puisque les aîné-e-s sont parties prenantes lors de l’élaboration de l’offre. Et il faut finalement relever la volonté d’intégration du projet, qui s’ouvre également aux seniors avec troubles cognitifs. 


Créer un cadre de vie sain. 
VIVA permet aux aîné-e-s de se retrouver dans divers lieux : maison de quartier, galeries d’art, Université de Genève. Elle veille à ce que ces lieux soient facilement accessibles, de plain-pied et par les transports publics. Par ailleurs, ce projet incite à s’approprier les espaces verts de la commune par des marches accompagnées. Il valorise les cheminements piétons et invite au fitness urbain. 


 

Lire aussi l’article Vivre vieux c’est bien, vieillir bien c’est mieux

L'affiche de la semaine

Dernier article

L’adaptation forcée de l’animation socioculturelle
Lundi 15.04.2024
Par Guillaume Dafflon
Durant la pandémie de Covid-19, les centres d’animation socioculturelle ont déployé des mesures inédites pour rester en lien avec leur public. Les analyser montre les capacités d’adaptation des professionnel·les du travail social.