«Incasables»… Un chaînon manquant?

Jeudi 19.06.2025
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La théorie polyvagale pourrait être un modèle essentiel dans la compréhension et l’accompagnement des «incasables». Témoignage et réflexions.

Par Philippe Bornand, éducateur-thérapeute systémique formé à l’approche polyvagale et l’EFT

Dans le coin gauche du ring, Jena. 1 mètre 60, cinquante kilos à peine, un regard pétillant doublé d’un sourire radieux, qui s’opposaient sans relâche à une rage « intérieure » bouillonnante. En face, dans le coin droit, toute personne qui tentait un argument sensé pour la « raisonner » dans ces moments de crise.

Les déclencheurs de cette violence ? La mauvaise marque de lait dans le frigo, un pull mal plié ou encore trop de carottes dans le plat de midi. Impossible d’anticiper ses crises, qui finissaient régulièrement avec la présence de la police ou de l’ambulance.

Résultat ? Dix institutions. Vaud, Neuchâtel, Genève, Bienne. Quelques hospitalisations et des séjours en milieu fermé. Pas moins de dix institutions dans lesquelles Jena aura transité entre ses treize et ses 18 ans. Un nouveau lieu de vie quasiment tous les six mois. A chaque fois, en cause, cette agressivité hors norme, insupportable, ingérable, intolérable. Une de ces agressivités démesurées qui paraît vouloir écraser l’autre. Une violence qui hurle surtout « aidez-moi !!! ».

Jena représente un triste et énième exemple des difficultés rencontrées par les institutions sociales à trouver des accompagnements qui répondent aux besoins de ces jeunes. Violence, scarification, tendance suicidaire, difficulté relationnelle, délinquance, consommations. En prenant du recul avec cette trop longue liste de symptômes, les professionnel·les du travail social et de la santé pourraient se demander comment ces jeunes peuvent continuer à mettre autant en difficulté les accompagnements, malgré des encadrements conséquents et pluridisciplinaires. Ou encore questionner comment expliquer que l'on reste dans des dynamiques aussi dysfonctionnelles et destructrices sur le long terme. Enfin, surtout, envisager comment apaiser ces enfances blessées.

L’ « incasable », du fait des extrêmes où il ou elle entraine, reste encore un mystère sur bien des plans pour bon nombre de professionnel·les de la protection de l’enfance. A force de se questionner, il est sensé de se demander si l'on ne serait pas passé·es à côté de quelque chose dans la prise en charge de ces jeunes ? Qu’est-ce que l’« incasable » cherche encore à dire ?

Le prisme des traumatismes

Un rapide coup d’œil dans le passé de ces jeunes laisse toujours apparaître plusieurs formes de maltraitances infantiles. Souvent des histoires familiales dramatiques. En tant que professionnel·les, on se doit par conséquent de « lire » ces jeunes sous le prisme du trauma, puisqu’ils et elles sont des jeunes traumatisé·es avant tout. Au même titre que les enfants qui ont grandi dans un pays en guerre, l’incasable a aussi grandi sous les « bombes ». Ses besoins ont été niés, son développement mis en péril et sa capacité à s’attacher abimée. Sans omettre que, bien souvent, ce qui a été traversé durant les mille premiers jours de vie restera à jamais obscur. Leur développement a clairement été mis en péril.

Pour accompagner ces « incasables », on ne s'est probablement pas encore suffisamment arrêté·es sur ce que le monde psychiatrique appelle « le stress post traumatique complexe ». Pour rappel, « les traumatismes développementaux complexes (maltraitance infantile) sont une traumatisation interpersonnelle précoce prolongée et répétée à tous les stades clés du développement avec une incapacité réelle ou perçue de s’échapper. Cela ayant pour conséquence des troubles de l’auto-organisation. L’individu ne développe pas un sentiment d’identité cohérent et cela impacte la façon dont on se comporte avec les autres […] conduisant à une dysrégulation émotionnelle car l’expérience corégulatrice avec un autre n’a pu être vécue » [1]. Ce rappel vient surtout souligner l’impérieuse nécessiter d’apporter à ces jeunes des soins.

Prendre soin du corps d’abord

Des soins oui, mais basés sur quelles approches ? Quelle théorie peut venir éclairer les soins à donner à cette jeunesse en grande difficulté ? A force de mettre toute l'énergie à courir après ces jeunes, il se pourrait bien que l'on soit passé·es à côté d’une théorie qui pourrait s’avérer essentielle à la compréhension des « incasables ».

La théorie polyvagale des émotions de Stephen W. Porges (2011) pourrait se révéler en effet assez éclairante quand on cherche à comprendre la complexité des comportements d’un·e « incasable ». Cette théorie est simple d’apparence mais d’une densité et d’une profondeur qui ouvre des champs de réflexion extrêmement précieux dans le domaine de l’enfance maltraitée.

La théorie polyvagale [2] explique que « notre système nerveux autonome s’occupe d’un grand nombre de fonctions du corps (rythme cardiaque, digestion, etc.). Ce système nerveux autonome gère aussi la survie et la réponse au stress. Son rôle est de nous maintenir en vie quand nous sommes en danger, en scrutant constamment notre environnement à la recherche de signaux de "sécurité" ou de "danger" ».

En fonction de l'environnement, trois réponse sont possible : la sécurité, quand l’environnement est considéré comme sécure, l’état mobilisé, quand on perçoit un danger, une menace avec comme réponse potentielle le combat ou la fuite, et finalement l’immobilisation, quand le danger est considéré comme trop important (« shutdown », évitement ou à terme dépression).

Ces trois « états » sont aussi utilisés pour s’orienter dans le monde. Un système nerveux autonome sain passera d’un état à un autre avec fluidité ce qui permet de gérer le stress et d’être résilient·e face aux événement négatifs.

Malheureusement, les traumatismes et le stress chronique peuvent empêcher ce système de fonctionner de manière saine, régulée et résiliente. Le système nerveux autonome se maintiendra alors en mode survie. Une rencontre amicale peut devenir effrayante, une réunion peu devenir menaçante, une brique de lait peut devenir une question de survie.

Pour celles et ceux qui ont un passé de stress chronique et de traumatismes, le système de détection du système nerveux peut devenir défaillant, signalant constamment du danger comme un système d’alarme qui signale constamment un incendie même en l’absence de flamme ou de fumée. Vivre constamment en mode « survie » peut pousser un individu à développer des stratégies d’adaptation en utilisant médicament, drogues, sexe, travail, alcool ou nourriture pour tenter de réguler la situation et apporter un soulagement temporaire.

Les traumatismes développementaux liés à la maltraitance, au stress chronique, à la négligence et aux environnements défavorable (pauvreté) peuvent empêcher de se relier aux autres. En tant qu’enfant, la première priorité de survie est de pouvoir s’attacher aux autres. Lorsque l’environnement n’est pas sécure, le système nerveux ne se configure pas correctement. La partie du système qui juge de ce qui est sûr ou non devient défectueuse. Les traumatismes compromettent la capacité à s'engager et remplacent le besoin de connexion par le besoin de protection (incapacité à créer du lien). Lorsqu’il y a eu traumatisme, le système nerveux ne peut plus faire la différence entre passé dangereux et présent sûr.

Heureusement, il est possible de réentrainer le système nerveux pour se sentir à nouveaux en sécurité. Le mieux étant de le faire avec l’aide des autres (corégulation).

En d’autres termes, vivre avec un système nerveux « dérégulé » conduit à développer une relation biaisée aux autres, à soi et au monde, car il débouche sur des alertes constantes, indiquant faussement que sa survie est en jeu. La moindre règle, le moindre événement insignifiant peut alors être vécu comme une atteinte à sa vie et provoquer des comportements extrêmes (attaque, fuite, évitement), souvent incompréhensibles pour l’éventuel vis-à-vis et parfois aussi pour la personne elle-même (« Mais que se passe-t-il en moi ? »).

A force de chercher des explications à cette tyrannie intérieure, la personne peut en venir à rationnaliser ces comportements comme faisant partie de sa personnalité, de son caractère : « je suis impulsif, je suis timide, je suis instable », jusqu’à « je suis bipolaire, je suis bordeline » [3], en fonction des différents diagnostics qui auront tendance à s’accumuler.

D’autant plus que le « système perceptivo-réactionnel » [4] de ces jeunes est tronqué par ce système nerveux autonome dérégulé. Dans ce contexte, la construction de sa réalité ne peut être que chaotique, avec une défiance pour le monde des adultes, vu comme des personnes potentiellement dangereuses et une impossibilité à trouver un apaisement.

Le corps avant le cerveau

A ces observations vient s’ajouter la théorie des émotions de Damasio [5] qui démontre que ce n’est pas le cerveau qui est à l’origine des émotions mais le corps. Si toute information sur l'environnement part du physique avant d’arriver au cerveau, alors aucun argument rationnel ne pourra venir apaiser le ou la jeune. Il s’agit avant tout de réapprendre au corps, et plus précisément au système nerveux, à fonctionner de manière saine.

Bien entendu, il reste primordial de prendre en charge le ou les traumas dans un espace dédié à l’approche polyvagale et aux thérapies psycho-corporelles (EMDR, EFT, somatic experiencing, neurofeedback [6]), dont l'efficacité est aujourd’hui largement démontrée scientifiquement. L’essentiel étant de partir du principe que c’est le corps, et non pas la tête, qu’il s’agit de soigner dans un premier temps avec comme fil conducteur la régulation du système nerveux autonome et le traitement de la mémoire traumatique.

Les intervenant·es qui accompagnent ces jeunes sont poussé·es à se questionner sur leurs types d’attachement et, surtout, à identifier si leurs propres systèmes nerveux sont suffisamment régulés pour que les jeunes parviennent à les évaluer comme personne « sécure ». Le succès ou l’échec de la relation dépend des capacités des professionnel·les à réguler leurs propres systèmes nerveux autonomes.

Autrement dit, il est essentiel pour les professionnel·les d’avoir effectué un travail soutenu sur leur propre « neuroception » (manière dont le système nerveux autonome reçoit des informations sans faire intervenir les parties pensantes du cerveau). C’est à ce prix qu’ils et elles seront en mesure de participer à la co-régulation de ce même système auprès des jeunes. L’autorégulation passant toujours par la corégulation (la présence et l’accordage à d’autres système nerveux) — ceci étant un des impératifs en tant que mammifères [7].

La prise en charge des ados en grandes difficultés nécessiterait (toujours et encore) la création de petites institutions spécifiques et individualisées, où les jeunes avec des parcours de maltraitances ne seraient pas réunis. En attendant, il est vital de pouvoir les accompagner avec les réseaux existants. Ce travail de réseau — fluide, resserré et stable sur le long terme — devrait pouvoir reposer, pour chaque intervenant·e, sur la notion de « caregiver » [8] en s’articulant sur des temporalités longues afin que ces jeunes multiplient les expériences de relations sécures, qui deviennent alors thérapeutiques, en petites « unités » spécifiques, mobiles et malléables au gré des « feedbacks » de terrain.

Dans ces méandres éducativo-thérapeutiques, la ligne directrice consiste à se demander inlassablement comment aider le système nerveux autonome du ou de la jeune à se réguler pour communiquer de manière saine et fonctionnelle avec le monde, les autres et lui ou elle-même, et pouvoir s’éloigner du mode constant de la « survie ».

Bâtir des accompagnements transdisciplinaires

Ce type d’encadrement pourrait se résumer de manière synthétique en trois points simple mais pas faciles à articuler. Tout d’abord, et comme déjà vu [9], figure la nécessité de construire des liens solides, durables et identifiés par le ou la jeune comme de confiance. Elle ou il peut ainsi expérimenter des relations sécures qui lui permettent de prendre conscience de ses états et de favoriser la reconstruction d’un système nerveux régulé et sain (temporalité longue).

Ensuite, il s’agit de s’atteler à bâtir des accompagnements transdisciplinaires qui intègrent la théorie polyvagale, la dérégulation du système nerveux, et prennent en compte la notion de stress post traumatique complexe, des accompagnements où chaque professionnel·le pourra amener ses forces et ses ressources.

Finalement, il y a lieu de prévoir un espace thérapeutique d’orientation polyvagale et corporelle (EFT, EMDR, somatic experiencing), une thérapie qui se veut engagée, chaleureuse, proche et attentive à créer un climat sécurisant, de confiance et ressourçant. Cette prise en charge thérapeutique doit être capable de sortir des bureaux (« thérapie de rue ») quand cela favorise la rencontre et diminue les résistances. Autrement dit, une thérapie en mesure d’aller à la rencontre de l’« incasable », là où il ou elle se sent en sécurité, à savoir bien souvent dans « la rue », parmi ses pair·es.

Le chemin sera probablement encore long avant de découvrir « la pierre philosophale » de la prise en charge de « l’incasable ». Mais nul doute que l'on parviendra un jour à faire basculer ce surnom douteux dans les oubliettes de l’histoire de la protection de l’enfance. En ce sens, Deb Dana, thérapeute et pionnière de l’approche polyvagale et de ses applications cliniques, laisse entrevoir beaucoup d’espoir en rappelant joliment que : «La théorie polyvagale, c’est la science de la connexion qui explique comment se sentir suffisamment en sécurité pour tomber amoureux de la vie et prendre le risque de vivre [10]et plus seulement survivre.

[1] Travaux de Judith Hermann relayé par Linda Thai dans le cadre sa formation « Stratégie de régulation du système nerveux et partiques somatiques-Quantum Way » (module 9, min 42)

[2] QUANTUM WAY-Retranscription de Trauma et théorie polyvagale- Trauma et Théorie Polyvagale (youtube.com)

[3] Bessel Van de Kolk : Le corps n’oublie rien, éd Pocket, page 238

[4] Wittezaele, Nardone : Une logique des troubles mentaux, éd. Seuil, page 71

[5] Antonio Damasio : LE CORPS SE MET EN MARCHE AVANT LA PENSEE

[6] Bessel Van de Kolk : Le corps n’oublie rien, éd Pocket, page 538

[7] Linda Thai : La corégulation un impératif biologique pour la survie, Quantum way

[8] La notion de caregiver dans le cadre de placements d’adolescents en Maison d’enfants à caractère social (mecs) | Cairn.info

[9] Philippe Bornand, « Suivis en milieu ouvert pour profils «incasables» », REISO, Revue d'information sociale, mis en ligne le 27 mai 2021, https://www.reiso.org/document/7462

[10] Deb Dana, Ancré, Ed. Quantum Way, page 11


Lire également :

Comment citer cet article ?

Philippe Bornand, ««Incasables»… Un chaînon manquant?», REISO, Revue d'information sociale, publié le 19 juin 2025, https://www.reiso.org/document/14258