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Les autorités entendent-elles l’enfant lors de son placement en institution ou lors d’une procédure de renvoi du père ou de la mère étrangère? Si ces deux situations sont délicates pour l’enfant, qui sera séparé de sa mère, de son père ou des deux, elles mettent aussi les autorités à l’épreuve. Cette étude bilingue porte sur la pratique des cantons en matière d’audition des enfants dans le droit civil (placement en institution ou en famille d’accueil) et dans le droit des étrangers (renvoi d’un parent).
Placement. Il en ressort que, dans les cantons de Berne, de Neuchâtel et de Fribourg, les enfants sont en principe entendus à partir de l’âge de 6 ans par les autorités de protection de l’enfant et de l’adulte (APEA) avant un placement, en accord avec la jurisprudence du Tribunal fédéral. Quant aux enfants plus jeunes, ils participent à la procédure par l’entremise des services de protection. Des mesures sont cependant nécessaires pour mieux former les professionnel-le-s chargé-e-s de l’audition aux techniques d’interrogatoire adaptées aux enfants.
Renvoi d’un parent. En revanche, lors d’une procédure de renvoi d’un parent étranger, l’enfant est entendu dans un peu moins de la moitié des cantons. La majorité des offices de migration partent en effet du principe que l’intérêt de l’enfant est identique à celui du parent en passe d’être renvoyé. Un travail de sensibilisation et de formation aux droits de l’enfant se révèle donc indispensable pour les offices de migrations afin que l’enfant soit lui aussi considéré comme un sujet dans les procédures de renvoi.
Le Service dentaire scolaire du canton de Fribourg (SDS) s’est associé aux réalisateurs fribourgeois Samuel et Frédéric Guillaume, à la créatrice d’outils didactiques Anne Oberlin Perritaz et au chanteur Gaëtan pour développer un concept novateur dans le domaine de la prophylaxie.
Depuis la rentrée scolaire, un film, un kamishibai (théâtre de poche) et la chanson «Frotte tes quenottes» sont ainsi utilisés auprès des élèves de 4 à 8 ans. Les castors Tim et Léa représentent le fil rouge des différents supports et font passer sous une forme ludique des messages concernant en particulier l’hygiène dentaire, la santé des gencives, l’information sur le tartre, la salive et les bactéries et l’effet de certains aliments sur les dents. Les outils seront complétés ultérieurement pour intéresser un public cible plus âgé.
Cette boîte à outils est disponible dans les structures d’accueil et les écoles. Elle est aussi à disposition des dentistes privés, des parents et des enfants fribourgeois. Les communes qui se chargent elles-mêmes de la prophylaxie (Morat et environs) ont d’ores et déjà marqué un fort intérêt pour ces outils et des discussions sont en cours avec la Conférence suisse des cliniques dentaires scolaires pour une reprise du concept dans d’autres cantons.
La réalisation des outils a coûté 165 000 francs, majoritairement prise en charge par la Direction de la santé et des affaires sociales (DSAS). La Loterie Romande, la Société fribourgeoise des médecins dentistes (SSO-Fribourg), Promotion Santé Suisse, le club de service Kiwanis, section de Fribourg, l’entreprise Curaprox et la Confédération ont également soutenu le projet.
Note de la rédaction de REISO: Tant le film que la chanson sont très réussis et pleins de fantaisie. Sympa aussi que le canton de Fribourg envisage de mettre ce matériel à disposition d’autres cantons.
Henning Mankell, écrivain suédois connu pour ses romans policiers, est aussi un essayiste engagé, un auteur et directeur de théâtre. A 65 ans, en janvier 2014, on diagnostique chez lui un cancer métastatique qui l’emportera en octobre 2015. Alors il écrit, se promenant dans sa propre histoire et dans l’histoire du monde, décrivant notamment sa jeunesse modeste dans le nord de la Suède avec son père juge (sa mère les a quittés très tôt), évoquant aussi «la joie de vivre».
Déchets nucléaires. Mankell est un antinucléaire et son livre débute avec la recherche, en Finlande, d’un endroit où enfouir des déchets nucléaires pour cent mille ans au moins. «Nous savons que les civilisations ne font pas le ménage derrière elles. Mais aucune n’a jamais laissé des déchets mortellement dangereux durant des millénaires.» Tellement facile de prendre des risques avec la vie des autres.
L’annonce. «La femme médecin qui m’a fait l’annonce [d’un cancer sérieux et probablement incurable] a fait preuve d’art médical. Elle était bien préparée, s’exprimait clairement, a pris le temps de répondre à mes questions. Dans son cabinet, le temps n’existait plus - elle avait son temps pour moi, moi et personne d’autre. Tout s’était réduit à un point où il n’y avait plus d’avant ni d’après, rien que ce ‘maintenant’ indéfini.»
La maladie. «La vérité c’est que je rêve d’être l’heureuse exception. Que je réussirai à me débarrasser du cancer. Je sais cependant que ce n’est pas vrai. […] Je suis dans un labyrinthe qui n’a ni entrée ni sortie. Etre atteint d’une maladie grave, c’est être perdu à l’intérieur de son propre corps.»
Les amis. «Il m’est arrivé d’être surpris au cours de cette période. Des gens dont je pressentais qu’ils s’enfuiraient se sont révélés assez forts pour maintenir un contact fréquent tandis que d’autres, dont j’attendais davantage, ont disparu. Se sont fondus dans l’ombre du cancer. On n’a pas besoin de beaucoup d’amis. Mais ceux qu’on a, on doit pouvoir compter dessus.»
Les livres. «Quand j’ai réussi à me hisser hors du sable mouvant et à résister, mon principal outil a été les livres. Prendre un livre et m’y perdre a toujours été ma façon d’obtenir consolation ou, du moins, un peu de répit. […] Il me fallait une nouvelle fois décider à quoi j’allais consacrer ma vie. Cette courte vie bordée par deux éternités, deux grandes bouches d’ombre.»
Le monde. «Les hommes ont de tout temps commis des actions mauvaises. Je refuse cependant d’employer le mot ‘mal’. Je ne crois pas à l’existence du mal (...) La barbarie a toujours des traits humains, c’est ce qui la rend inhumaine.» Mankell a vécu entre la Suède et le Mozambique, où il dirigeait une troupe de théâtre au cours de deux décennies. Sur le fossé entre ici et là-bas: «Ceux qui vivent dans les marges extrêmes n’ont aucun choix. Se coucher dans la rue pour mourir n’est pas un choix. Nous avons tous les moyens nécessaires pour éradiquer la misère absolue et hisser l’ensemble des êtres humains [à un niveau de vie acceptable]. Nous choisissons de ne pas le faire. C’est un choix que je ne peux considérer autrement que criminel. Mais il n’existe pas de tribunal habilité à poursuivre…»
Un auteur humain et humaniste, un livre enrichissant.
La dignité humaine est-elle le concept pathétique utilisable à bien plaire pour dénoncer ce que notre subjectivité juge inacceptable, que l’on soit fervent opposant à l’avortement ou grand défenseur des droits des migrant-e-s? En d’autres mots, la notion de dignité humaine n’est-elle que la vitrine béatifiante que l’on offre à l’envi à nos convictions morales?
De fait, alors que c’est à la protection qu’il garantit aux plus vulnérables qu’on mesure la valeur qu’un Etat accorde à la dignité humaine, c’est justement là que la Suisse pèche. Encore et toujours.
Le cadre ainsi posé, l’auteur passe en revue les domaines dans lesquels le droit, en Suisse, au lieu d’empêcher et de pénaliser les atteintes à la dignité humaine des plus faibles, les encourage au contraire. Il évoque en particulier la situation des criminel·le·s de droit pénal, des bénéficiaires de l’aide sociale et des requérant·e·s d’asile débouté·e·s.
Ce texte est issu de la contribution orale d’Alex Sutter à la journée d’action «Wo Unrecht zu Recht wird/Quand l’injustice devient loi») à Zurich, le 18 mars 2017. Il a été publié en version longue (allemand) dans la Wochenzeitung (WOZ). Traduction et adaptation d’Isabelle Michaud, chargée de la version française de l'association humanrights.ch.
L’Institut universitaire de médecine sociale et préventive a réalisé cette enquête sur mandat du Département de la santé et des affaires sociales du canton de Vaud. Le Conseil d’Etat l’a adopté le 16 août 2017 (lire son rapport).
Quelques chiffres pour les EMS, dans lesquels les situations de violence sont plus fréquentes que dans les CMS:
Dans sa conclusion, «le Conseil d’Etat souhaite que les données collectées ainsi que les recommandations du rapport de l’IUMSP soient reprises par un groupe de travail conduit par le Service de la santé publique et qui associera des représentants de tous les acteurs concernés. Il aura pour tâche de construire un plan de mesures qui soit le plus largement accepté et qui ait les meilleures chances d’être traduit dans la pratique. La présentation de ces travaux est attendue pour la fin du premier semestre de l’année 2018.»
Deux Suisses sur trois se déclarent favorables à la légalisation du cannabis. Selon une enquête réalisée pour le Fachverband Sucht, le partenaire alémanique du Groupement romand d’études des addictions (GREA), toutes les régions linguistiques se prononcent pour une nouvelle approche.
Une majorité des Suisses sont favorables à un assouplissement de la loi actuelle sur le cannabis. Toutefois, ils émettent des conditions. Ils sont 66% à se prononcer en faveur d’une levée de l’interdiction du cannabis pour autant que sa consommation reste proscrite pour les jeunes de moins de 18 ans. Dans les mêmes proportions, une levée de l’interdiction est envisageable du moment que les personnes qui prennent le volant s’abstiennent de consommer.
Par ailleurs, 64% des personnes sondées estiment qu’une levée de l’interdiction va de pair avec la mise en place d’une règlementation comme c’est le cas pour les cigarettes (interdiction de fumer dans les lieux publics, par exemple). Elles sont 62% à subordonner la levée d’une interdiction d’une vente du cannabis dans les pharmacies, ou dans des magasins spécialisés, par du personnel formé.
Par région linguistique, c’est le Tessin qui est le plus fervent défenseur d’une levée de l’interdiction : entre 75% (conditionnée à l’inscription de mises en garde) et 88% (du moment que l’interdiction demeure pour les moins de 18 ans) des personnes sondées y sont favorables. En Suisse romande, ce taux se situe entre 42% et 56% selon les mêmes conditions.
Dans le débat actuel sur la règlementation du cannabis, ces chiffres sont un appel et un signal fort aux politiques et aux autorités publiques fédérales et cantonales.
L’enquête téléphonique GFS a été réalisée sur mandat du Fachverband Sucht entre le 11 juillet et le 5 août 2017 auprès de 1’200 personnes âgées de plus de 18 ans. Source : GREA
Vente et consommation de cannabis, Dr Andrea Umbricht (dir.), GFS, Zurich, août 2017, 15 pages, en allemand
La campagne « Entendez-vous la vie ? » de Pro Senectute se poursuit. Un spot TV et des offres d’information et de cours invitent les personnes âgées atteintes d’une perte auditive à agir suffisamment tôt.
Pour les personnes âgées, avoir une bonne ouïe est primordial pour rester mobiles et participer à la vie sociale. Une étude du centre de compétence interdisciplinaire sur la vieillesse de la Haute école des sciences appliquées de Saint-Gall commandée par Pro Senectute révèle que près de la moitié des seniors atteints d’une perte auditive ne la traitent pas. Seule une petite partie porte régulièrement un appareil auditif. L’analyse montre également qu’il s’écoule en moyenne entre sept et dix ans entre les premiers soupçons et le traitement. Or, plus l’on repousse la prise en charge, plus il est difficile de trouver l’appareil auditif qui convient et de l’adapter correctement. Plus le temps passe, plus le cerveau oublie le sens des signaux acoustiques ; il ne parvient alors plus à interpréter les bruits.
Les partenaires de la campagne sont Neuroth, la Haute école des sciences appliquées de Saint- Gall ainsi que forom écoute.
L’aide sociale constitue le dernier filet du système de protection sociale suisse. Il existe en Suisse de nombreuses autres prestations sociales sous condition de ressources qui interviennent en amont de l’aide sociale et en réduisent les charges. De grandes différences sont toutefois observées entre les cantons en ce qui concerne le nombre et le type de ces prestations sociales.
Cette publication présente les prestations des cantons dans leur diversité, mais aussi dans leurs points communs ainsi que l’évolution de la législation ces dernières années. Elle comprend également le calcul des dépenses et des taux de bénéficiaires de l’aide sociale au sens large, tout comme les différences entre cantons en la matière et l’évolution des statistiques ces dernières années.
Pour mémoire, les catégories de prestation de l’aide sociale au sens large : aide sociale au sens strict, aides à la famille, aides aux personnes âgées et aux personnes invalides, aides au logement, aides aux chômeurs, avances sur pensions alimentaires, prestations complémentaires de l’AVS et l’AI.
ndlr: une synthèse remarquable
Ce film rassemble de nombreux témoignages qui sensibilisent aussi bien les proches aidants que les bénévoles ou les professionnel-le-s qui les accompagnent, à l’importance de prendre soin de soi et de solliciter à temps les soutiens spécifiques dont chacun-e a besoin. Il présente également des outils destinés aux proches aidants afin de mieux gérer leurs défis quotidiens personnels, rassemblés sur trois axes :
Car accompagner une personne vivant à domicile avec des troubles importants de la mémoire ou une démence est effectivement un défi. Les proches aidant·e·s qui s’engagent dans cet accompagnement font preuve d’une solidarité précieuse pour toute notre société. Mais beaucoup d’entre eux sont stressés, au point qu’à un moment ou à un autre ils s’approchent de l’épuisement. En apprenant à mieux gérer les situations difficiles du quotidien, il est possible de réduire le stress et de retrouver plus de confiance et de plaisir à accompagner une personne chère fragilisée par une démence.
Ce film d’information de 25 minutes a été réalisé dans le cadre du projet «Un programme psycho-éducatif pour soutenir les proches aidants de personnes âgées atteintes de démence vivant à domicile», mené par Sandrine Pihet, professeure à la HEdS-FR, soutenu par la Fondation Leenaards. Il présente les groupes de soutien pour les proches aidants organisés à Fribourg.
Cette somme substantielle décrit l’histoire riche et parfois mouvementée, en Suisse romande et avec des références internationales, des mouvements d’accompagnement et de soutien aux patients psychiques, dans un sens d’empowerment.
«Les associations dérangent... et c’est indispensable! Il leur appartient de mettre le doigt sur les failles et incohérences des systèmes médicaux et sociaux, de dénoncer les pratiques inacceptables. Mais elles devraient aussi permettre de rêver l’avenir», dit la juriste Béatrice Despland dans sa préface. Jeune médecin cantonal lors de la création du GRAAP, je peux confirmer qu’il a parfois dérangé… Nous avons eu des échanges vifs, notamment à propos de contention en psychiatrie (voir p. 108-113). Mais, avec l’autorité sanitaire au service de laquelle j’étais et avec les cadres psychiatriques, nous avons reconnu le caractère constructif et la volonté de partenariat des initiatives de l’association, y compris des actions «surprenantes» telles que l’ouverture d’un P’tit Magasin offrant des produits d’épicerie sur le site de l’Hôpital de Cery.
L’ouvrage s’ouvre sur le rappel de la mouvance anti-psychiatrique des années 1970, y compris la contestation vive, surtout à Genève, des électrochocs. Elle avait mené à la cessation de la pratique dans ce canton. A noter que, en 2017, cette méthode connaît une certaine réhabilitation.
La vaudoise Madeleine Pont, co-fondatrice du GRAAP, a été une force majeure dans ces développements. Travaillant dans les années 1970 pour Pro Mente Sana, elle a très tôt «le sentiment que les assistants sociaux ne touchent pas leur cible par le seul travail individuel avec les clients. Elle est convaincue qu’il faut responsabiliser les personnes concernées et qu’en groupe elles pourront résoudre elles-mêmes leurs difficultés.» Elle était pionnière mais cette vision s’est concrétisée.
Après vingt ans d’activités, le GRAAP a connu une période difficile, liée à un fonctionnement très (trop ?) démocratique compliquant beaucoup la gestion d’une association qui avait beaucoup grandi. C’est à ce moment-là, dit Madeleine Pont, que «j’entends parler de la sociocratie, méthode de gouvernance participative très précise. Et avoir le pouvoir sur… c’est être au service de.» Belle et juste formule ! Les problèmes ont pu être surmontés par la création d’une fondation aux côtés de l’association. «Cela ne s’est pas fait sans drames, départs et licenciements mais cette transformation était indispensable.»
Une section est consacrée à la place et aux rôles des proches des patients, considérés d’abord comme des «coupable» puis comme partenaires. Il est vrai qu’existait une certaine méfiance à leur égard. Témoignage : «Il y avait énormément de culpabilisation des familles dans les années 1980. Quand notre fille avait moins de 18 ans, oui, on était informé. Mais dès qu’elle a été majeure, ça a été fini.» Ces questions sont actuelles aujourd’hui encore avec les débats sur l’autonomie du patient, le secret médical et les intérêts compréhensibles des proches. Les associations d’action pour la santé psychique ont élaboré une Charte des proches, fruit des réflexions menées au cours d’ateliers citoyens et publiée en 2013, qui a représenté un pas important.
Dans les conclusions, lisez la contribution de Shirin Hatam, juriste à Pro Mente Sana, sur le nouveau droit de la protection de l’adulte entré en vigueur en 2013. Elle apporte des précisions importantes sur les apports de ce nouveau droit, ne ménageant pas certaines critiques, y compris son caractère pas assez nuancé, voire régressif, et interprété de manières diverses selon les cantons.
«Pour les associations de défense des droits [en matière de santé mentale], il est urgent qu’un changement profond s’opère, pour que d’autres compétences que les aptitudes professionnelles soient valorisées.» Est discutée la question du travail et l’importance qu’on lui accorde: «Peut-on pleinement exister, être épanoui, sans travail salarié?» La réponse des auteurs est clairement oui. Beaucoup de ce que les personnes font jour après jour, y compris le travail sur soi et sa maladie, est un vrai travail.
Dans les dernières pages, un point majeur : «Dans une société partagée entre les principes de la liberté individuelle et ceux du risque zéro, nos organisations doivent être en faveur d’une politique du risque mesuré en offrant de larges places à la créativité et à la co-construction. La focalisation actuelle sur le risque zéro se répercute gravement [négativement] sur les justiciables.»
En résumé: une lecture recommandée pour la présentation diversifiée de ces démarches pionnières et militantes de grande valeur, sur les plans médico-social et sociétal, depuis quelques décennies en Suisse romande.
L’ouvrage a été publié à l’occasion des 30 ans du Groupe d’accueil et d’action psychiatrique (GRAAP) vaudois, conjointement avec ses homologues fribourgeois et neuchâtelois. Présentation sur REISO
Percevoir les désaccords comme une opportunité de changement, c’est ce que propose le Centre pour l’action non-violente dans un atelier sur la résolution non-violente des conflits, le 18 mai à Lausanne. Inscriptions en ligne.