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Répondre au mieux aux besoins actuels et futurs des seniors, ainsi qu’aux défis liés au vieillissement démographique grâce à une démarche participative : tel est l’objectif du projet vaudois « Vieillir 2030 ».
La propension des jeunes à discriminer les seniors a augmenté avec le Covid-19. Une recherche montre notamment que l’utilisation fréquente de vocables négatifs pour qualifier ce public a engendré une augmentation des préjugés.
À Bienne, le projet Wili a allié réintégration sociale et aide aux personnes âgées. Un pari enrichissant pour chacun·e, mais qui nécessite toutefois de prêter une attention particulière aux fragilités des deux populations.
Avec l’âge, les facultés auditives tendent à diminuer, provoquant un effort émotionnel chez le·a senior et favorisant son isolement social. Comprendre cette perte progressive aide à mieux accepter le trouble.
Une nouvelle démarche en Suisse romande permet d’aborder les questions liées aux soins futurs avant que la santé des patient·e·s ne se dégrade. Les défis sont à la fois éthiques et conversationnels.
Une étude menée en milieu rural auprès d’enfants de 6 à 11 ans montre que leur vision de la vieillesse repose sur différents regards, à la fois négatifs, neutres et positifs, ainsi que sur quelques stéréotypes.
Pour qu’ici soit chez moi : la théorie de la régulation, particulièrement éprouvée durant le semi-confinement lié à la pandémie de coronavirus, contribue à expliquer le sentiment du chez soi en logement protégé.
L’organisation d’un repas intergénérationnel nécessite de prendre en compte les besoins différents des enfants et des seniors. En Valais, un projet a mis en lumière les bonnes pratiques que requièrent ces moments de partage.
Au lieu d’attendre que les patient·e·s demandent une prestation sociale, un centre de santé à Genève a pris le parti inverse. Les médecins prennent l’initiative et collaborent avec le service social pour assurer le suivi global.
En Suisse, une personne de plus de 65 ans sur deux a écrit des consignes pour sa fin de vie. La rédaction de directives anticipées s’avère libératrice, mais elle est aussi anxiogène. Dans cette démarche, un accompagnement social est précieux.