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Durant plus de dix ans, le professeur René Knüsel a dirigé l'Observatoire de la maltraitance envers les enfants. Il s'est notamment intéressé aux enjeux culturels dans la maltraitance, coordonnant un ouvrage collectif intitulé «Qui châtie bien?».
Comme la maltraitance infantile, l’un des nombreux sujets de recherche de René Knüsel, les violences et les discriminations envers les personnes âgées suivent un long processus de prise de conscience et de prévention.
Pour les personnes attirées par les mineur·e·s, l’intérêt d’une intervention de première ligne, en réponse à l’intériorisation d’un stigmate, est avéré. Les travaux de René Knüsel ont inspiré des pratiques d’accompagnement social en la matière.
René Knüsel a participé à un projet d’intervention sociologique dans le cadre du programme « Vivre ensemble dans l’incertain ». Retour sur un projet de recherche interdisciplinaire débuté en 2009.
René Knüsel est, et reste, un sociologue investi à l’ouverture de la science et au partage des connaissances scientifiquement acquises. Analyse des défis et opportunités de la science en « open access ».
Portant sur des besoins réels, utilisant les savoirs des parties prenantes pour produire avec elles des connaissances renouvelées, les recherches collaboratives consolident un dialogue entre science et société que René Knüsel a contribué à enrichir.
La solidarité, notion centrale aux politiques sociales, comporte de nombreux enjeux d’étude dans une approche de recherche-intervention. Ceux-ci ont occupé les travaux du Professeur Knüsel tout au long de sa carrière. Analyse.
En s’engageant dans une approche sociologique des politiques sociales, René Knüsel a ouvert une voie pour une mise en commun des savoirs entre chercheur·se·s issu·e·s du monde académique et professionnel·le·s du travail social.
Dans «Assurances sociale: une sécurité pour qui», René Knüsel et Félix Zurita démontrent comment l’État s’est engagé à «rendre l’inégalité supportable, tout en la maintenant».
Dans le cadre du module «migration» du Bachelor en travail social dispensé par la SUPSI, une recherche de classe s’est intéressée à la situation entre les personnes en exil en raison de la guerre en Ukraine et les Tessinois·es ouvrant leurs portes.